21.12.2018 Lumières pour enfant
« De 1927 à 1932, durant cinq années pleines, Walter Benjamin fait de la radio un laboratoire où expérimenter d’autres formes de narration, autrement dit un lieu politique. » (Maylis de Kerangal)
« De 1927 à 1932, durant cinq années pleines, Walter Benjamin fait de la radio un laboratoire où expérimenter d’autres formes de narration, autrement dit un lieu politique. » (Maylis de Kerangal)
Un conte d’hiver a été imaginé et rédigé par Pierre Marie et Ahmed Hamza Terbaoui pour accompagner et illustrer la Collection d’Hiver 2018.
« L’artiste abolit toute idée de composition et s’affranchit de la contrainte d’un projet de représentation préconçu, limitant son intervention au choix du format du tableau et des proportions de la grille. (Paul Nyzam)
« Cage fait intervenir le hasard afin de découvrir les sons tels qu’en eux-mêmes, libérés de toute intentionnalité d’écriture, de toute subjectivité. » (Karine Le Bail)
« Mais l’âne de Bresson n’est pas un personnage, il témoigne par son regard, par les souffrances qu’il subit, du combat désespéré des protagonistes, aux prises avec leur orgueil, leur cupidité, leur sensualité. » (Françoise Zammour)
« Les situationnistes proposent de marcher à contre courant de l’urbanisme dominant qui se fait en dehors de la sensibilité émotionnelle des Hommes. » (Corinne Melin)
« Avec Le Coup de dés, Stéphane Mallarmé révolutionne la poésie comme Picasso le fera pour la peinture dix ans plus tard avec Les Demoiselles d’Avignon » (Eric Marty)
« Le spectateur, au fait de toute l’intrigue, s’amuse de la confusion provoquée par ce jeu de doubles. » (Eve Mascarau)
« Voici l’un des tableaux fondateurs du Surréalisme – un mot qui n’existe pas encore lorsque l’œuvre est réalisée. » (Paul Nyzam)
Pascal Bonafoux, écrivain et historien de l’art français, auteur d’une monographie sur Vermeer, présente pour memento une analyse du regard sur l’art au fil de la plume de Marcel Proust.
L’exposition du Jeu de Paume ‘Daniel Boudinet : le temps de la couleur’ (16/06-28/10 2018) montre l’importance de l’apport du photographe par son emploi de la couleur.
« Le devenir paysage de la couleur est ce désir de la peinture de se prolonger dans l’espace, par le truchement de la réverbération. » (Soko Phay)
« La couleur du son – son timbre – est le vaste territoire de la musique. » (Arnold Schoenberg)
Artistes-designers, les Carnovsky se sont associés à diptyque pour l’animation du Jardin des Hespérides.
« Ces artistes concourent à agrandir les contours classiques de l’œuvre d’art […] » (Isaline Bouchet)
« Pour les membres de Provoke, il s’agit dorénavant d’extraire la photographie de son carcan idéologique, factuel… » (Diane Dufour)
« Le concept de “musique minimale” s’est développé au cours des années 1970, mais son origine remonte au début des années 1960 » (Jean-Yves Bosseur)
« Pour la première fois au festival d’Avignon, la danse fait irruption. » (Karine Le Bail)
diptyque ouvre une nouvelle boutique au 330-332 Rue Saint Honoré, 75001 Paris
« Les années 60 sont, aussi, les années Beatles » (Julia Kerninon)
« L’artiste autrichien Peter Kubelka a révolutionné le régime des images en mouvement. » (Jonathan Pouthier)
L’illustration de Tempo, qui fête cinquante ans de parfumerie diptyque, se destinait à Safia Ouares, dessinatrice et réalisatrice.
« Ed Ruscha s’est illustré dans la peinture, la photographie, le dessin et le cinéma, avec des œuvres souvent liées aux domaines de l’architecture et du paysage urbains, ainsi que de la culture automobile. » (Marla Hamburg Kennedy)
« Ils l’affirment avec force : au cinéma, le véritable auteur est le metteur en scène. » (Françoise Zamour)
« L’écrivain belge va donner à cette expérience une forme inédite, à mi-chemin de l’écriture et du dessin. » (Paul Nyzam)
Dimitri Rybaltchenko s’est joint à diptyque pour donner une vie visuelle au parfum Fleur de Peau qui fête (avec le parfum Tempo) cinquante ans de parfumerie diptyque.
« Dans l’une des images prises par le jeune photographe Bruno Barbey, c’est la liberté d’expression que Sartre et à ses côtés Simone de Beauvoir, sont en train de défendre avec vitalité. » (Nathalie Parienté)