16.03.2018 La parfumerie des années soixante
Inventivité, développement des produits de synthèse mélangés à de beaux ingrédients naturels, classicisme, sensualité, caractérisent la parfumerie des années 60.
Inventivité, développement des produits de synthèse mélangés à de beaux ingrédients naturels, classicisme, sensualité, caractérisent la parfumerie des années 60.
« Les Muretti di Stracci posent l’une des premières pierres de ce que le critique d’art Germano Celant appellera bientôt l’Arte povera. » (Paul Nyzam)
« Aucune femme, aucun homme ne peut prétendre à l’élégance si sa perruque n’est poudrée et parfumée. » ( Annick Le Guérer)
« Cette effigie ambiguë, qui porte chapeau et rangs de perles, a déjà un nom : Rrose Sélavy » (Sylvie Aubenas)
La graphiste Leslie David a conçu pour diptyque l’illustration pop de Rose Delight en s’inspirant des toiles de Jouy classiques.
Jeune fille se coiffant les cheveux (1894) d’Auguste Renoir, par Pascal Bonafoux, écrivain, historien de l’art français, Commissaire d’exposition et professeur émérite d’histoire de l’art à l’université Paris VIII.
La manufacture de Jouy, fondée par Christophe-Philippe Oberkampf, a donné son nom à ces étoffes en les concevant comme de véritables tableaux.
« Les peintures d’Hantaï, où le pliage est travaillé comme une véritable méthode, ont trouvé écho auprès de Didi-Huberman. » (Soko Phay)
« L’œuvre de Cy Twombly se nourrit de références à l’histoire, à la littérature et à l’art. » (Etienne Sallon)
« Il faut que le noir s’accentue pour que la première étoile apparaisse. » (Christian Bobin, L’homme-joie)
« Thomas Ruff annule toute ressemblance avec le réel et rompt avec la tradition d’une représentation traditionnelle plus émotionnelle. » (Elodie Morel)
« La caractéristique première de la vedette, comme le rappelle son étymologie, est d’être vue. » (Julia Kerninon)
Les étoiles de la fresque peinte par Giotto dans la chapelle Santa Maria della Carità all’Arena à Padoue…
Constellations de Joan Fontcuberta, présentées par Nathalie Parienté, historienne de l’art et commissaire de l’exposition « Joan Fontcuberta. Ad Litteram ».
La Nona Ora, œuvre réalisée en 1999 par Maurizio Cattelan, présentée par Paul Nyzam, spécialiste en art contemporain chez Christie’s.
Questionnaire diptyque: Philippe Baudelocque. L’artiste peintre de fresques stellaires géantes a illustré la Collection Hiver 2017 de diptyque.
« Il n’y a pas de ligne, il n’y a pas de modelé, il n’y a que des contrastes » (Lawrence Gowing)
Lamarche-Ovize est Invité dans la cinquième édition de Private Choice, conçue par Nadia Candet.
Oiseaux : la liberté du design nordique, par Ásdís Ólafsdóttir, historienne du design et directrice de la Maison Louis Carré.
« Accident et création ne sont donc pas opposés. » (Catherine Malabou)
L’image est floue, déformée et le sujet principal sort du cadre.
« L’Américain de Paris, c’est ce que l’Amérique a fait de mieux. » (Francis Scott Fitzgerald, en 1925)
« Des origines à nos jours, le parfum n’a cessé d’induire des pratiques et des gestes. » (Annick Le Guérer)
Dans Degas, Danse, Dessin, Paul Valéry écrit : « Il se peut que le Dessin soit la plus obsédante tentation de l’esprit. »
« Ce roman de Patrick Süskind est d’abord l’histoire d’un nez. » (Julia Kerninon)
« L’odorat conquiert ses lettres de noblesse à travers l’art qui exprime la beauté et la puissance des fragrances. » (Chantal Jaquet)
« Avec « Preserved for a better day », Morvarid K. raconte la vie quotidienne des habitants de Téhéran. » (Nathalie Parienté)