08.06.2018 Daniel Boudinet : le temps de la couleur
L’exposition du Jeu de Paume ‘Daniel Boudinet : le temps de la couleur’ (16/06-28/10 2018) montre l’importance de l’apport du photographe par son emploi de la couleur.
L’exposition du Jeu de Paume ‘Daniel Boudinet : le temps de la couleur’ (16/06-28/10 2018) montre l’importance de l’apport du photographe par son emploi de la couleur.
Paris roof tops (toits de Paris) est une série de photographies de Michael Wolf, présentée sur memento avec l’aimable autorisation du photographe.
« Pour les membres de Provoke, il s’agit dorénavant d’extraire la photographie de son carcan idéologique, factuel… » (Diane Dufour)
« Ed Ruscha s’est illustré dans la peinture, la photographie, le dessin et le cinéma, avec des œuvres souvent liées aux domaines de l’architecture et du paysage urbains, ainsi que de la culture automobile. » (Marla Hamburg Kennedy)
« Dans l’une des images prises par le jeune photographe Bruno Barbey, c’est la liberté d’expression que Sartre et à ses côtés Simone de Beauvoir, sont en train de défendre avec vitalité. » (Nathalie Parienté)
Il y a du mystère dans les circonstances qui semblent avoir poussé Gustave Le Gray vers l’orient.
« Thomas Ruff annule toute ressemblance avec le réel et rompt avec la tradition d’une représentation traditionnelle plus émotionnelle. » (Elodie Morel)
Constellations de Joan Fontcuberta, présentées par Nathalie Parienté, historienne de l’art et commissaire de l’exposition « Joan Fontcuberta. Ad Litteram ».
L’image est floue, déformée et le sujet principal sort du cadre.
« Avec « Preserved for a better day », Morvarid K. raconte la vie quotidienne des habitants de Téhéran. » (Nathalie Parienté)
En légitimant la machine au détriment du biologique pour séquencer le temps, Etienne-Jules Marey (1830-1904) mit en acte une mutation annonçant les temps futurs.
On est d’abord et peut-être toujours mystifié par ce qu’on a décidé de voir.
diptyque est partenaire officiel de Paris Photo.
Talbot est l’inventeur anglais de la photographie comme Niépce et Daguerre en sont les inventeurs français.
A travers ses œuvres les plus emblématiques, l’artiste manie la fiction avec ironie afin de créer une dynamique du doute.
Jonquilles, roses, orchidées, iris, oiseaux de paradis, tulipes, toute fleur s’offre à son œil solennel et pénétrant, dans la lumière de fin du jour du studio qu’il habitait.
Par son souci de la qualité du tirage, qui conditionne le potentiel expressif d’une image, Sudek obtient du procédé pigmentaire l’aura évocatrice des choses.
« Mon cheminement dans le monde de la photographie me fait incliner décidément vers une conception religieuse, quasi mystique de la photographie » (Pierre de Fenoÿl)
Depuis les années 70, le paysage s’avère très présent dans le champ de la photographie « d’art ».
Le travail de Richard Mosse est un véritable défi au système qui impose de croire ce que l’on voit. Il nous offre la beauté en image pour nous parler de douleur et de danger.
De la mise au point à la mise à sac de l’intimité…
Marta Gili, Directrice du Jeu de Paume et critique d’art, partage avec nous quelques textes et un entretien, issus du catalogue de l’exposition Corps en résistance, sur la place des arbres dans l’œuvre de Valérie Jouve.
Le photographe Eugène Atget entreprend en 1921 une série intitulée “coins de parc” sur les arbres délaissés alors par les jardiniers.
La photographe Winnie Denker a scruté la tour Eiffel mieux que personne. L’écrivain Françoise Sagan détestait l’édifice de fer jusqu’à ce que ses clichés la lui révèlent… Elle préfaça alors l’ouvrage de l’artiste dédié à la tour, lui donnant son titre : « la sentinelle de Paris ».
Son œuvre est absolument majeure. Ses clichés des monts Yosemite sont légendaires…
Elodie Morel, Directrice des ventes de Photographies chez Christie’s revient sur l’œuvre de Karl Blossfeldt…
diptyque est l’un des supports officiels de cette manifestation extraordinaire qu’est le rendez-vous parisien de Paris Photo.