« Il ne saurait s’agir que de flammes hiémales.

 S’agit-il de plusieurs reines ou bien d’une sirène ? Rester serein…

 Quelle pièce ?

 Hier, ivre ? »

Qui comprend quoi que ce soit à cette langue des oiseaux que parlaient les alchimistes pour n’être entendus que des initiés ?

Il ne s’agit que d’anagrammes bien simplets. A défaut de calligrammes… Ce jeu de mots dans les mots, avec les mêmes lettres. Desmond Knox-Leet, l’un des pères fondateurs de diptyque, peintre, en avait été expert : il avait travaillé dans les services ultra-secrets de Bletchey Park lors du deuxième conflit mondial, d’où les codes allemands furent cassés, dont le fameux « enigma ». Ce sera l’affaire d’une future publication. Ce jeu de lettres le conduit aux étiquettes que l’on connait, avec leurs lettres qui dansent la farandole.

Ni hier ni ivre… mais hiver.

Aucune pièce… mais épice.

Ni reine ni sirène, ni serein… mais résine.

Epice, Hiver, Résine, mis en couleurs par les Qubo Gas en échos chromatiques aux tableaux de Desmond Knox-Leet.

Comme chaque année, diptyque vous propose une collection de fin d’année de bougies aux parfums hiémaux. Encore quelque anagramme ? Non, hiémal signifie : relatif à l’hiver, qui fructifie en cette saison. Nous pourrions parler de fêtes hiémales, ou de cadeaux hiémaux. Une montagne hiémale est couverte de neiges éternelles… c’est à la célébration de ces évocations que cette collection s’adresse.